FAROL DA NAZARE

Nous atteignons NAZARE au jour finissant, sous un ciel bas et gris. Le plus souvent, quand on arrive dans une ville, on se dirige vers son clocher. Ou vers son phare. Tout autour du phare, nous avons retrouvé le souffle de l'Atlantique. Nous nous sommes laissés encercler par sa rumeur sourde, nous l'avons écoutée, veillée, puis rêvée enfin, toute la nuit. Jusqu'au matin brumeux.

Vers 13 heures, la brume a fini par lever son voile sur le PHARE DE NAZARE. "LE PHARE ILLUMINE LES MERS. LE FARD ENLUMINE LES FILLES." (Alphonse ALLAIS - Le chat noir) Demain, au programme, une promenade dans la ville haute, son église, son casco antigo tout à la fois animé et discret, qui dresse son belvédère sur la belle plage de NAZARE comme une sentinelle.

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ThierryKarine